Everlife : la solution concrète au vrai coût des obsèques

En Suisse, le coût des obsèques dépasse régulièrement les 10 000 francs – un chiffre qui surprend, surtout lorsqu’il faut agir dans la précipitation et sans préparation. L’épargne personnelle du défunt ? Souvent insuffisante, ou tout simplement inaccessible au moment de régler les pompes funèbres. Et surtout, elle ne libère ni des décisions à prendre, ni des démarches à accomplir. Beaucoup découvrent alors, trop tard, les limites d’une organisation laissée au hasard.
Le coût réel des obsèques en Suisse
Organiser des obsèques représente un coût que peu de familles anticipent réellement. En moyenne, les frais se situent entre 8 000 et 12 000 francs, selon les prestations choisies, le canton et les volontés exprimées. Ce budget couvre notamment le transport du corps, la mise en bière, le cercueil ou l’urne, la cérémonie (fleurs, salle, officiants), l’inhumation ou la crémation. À cela s’ajoutent des frais annexes liés à la sépulture ou à la location d’une concession.
Une idée reçue persiste : « c’est l’État qui paye ». En réalité, seules les personnes en situation d’indigence peuvent bénéficier d’une aide minimale. Pour les autres, la facture arrive rapidement, et doit être réglée sans délai. Or, les comptes du défunt sont souvent bloqués temporairement. Résultat : les proches se retrouvent à devoir avancer les frais, tout en gérant le deuil et les décisions urgentes.
Pourquoi l’épargne ne suffit pas
Face à cette réalité, certains pensent qu’une épargne bien gérée peut suffire. C’est rarement le cas. D’une part, les liquidités sont souvent gelées à la suite du décès. D’autre part, rien ne garantit que cette épargne soit utilisée conformément aux volontés du défunt. Sans cadre formel, des désaccords peuvent surgir : qui décide ? qui paie ? que faire en l’absence d’instructions claires ?
Dans un monde où les familles sont parfois dispersées ou désunies, il est fréquent que les souhaits du défunt soient ignorés, mal interprétés ou simplement inconnus. Les proches se retrouvent alors à improviser, sans repères, dans un moment de grande vulnérabilité.
Anticiper efficacement : l’approche Everlife
La prévoyance funéraire permet justement de dépasser ces limites. Il ne s’agit pas simplement de mettre de l’argent de côté – car le seul volet financier ne suffit pas. Il s’agit avant tout d’organiser, formaliser et encadrer ses volontés de manière claire et contractuelle. Cela inclut non seulement le financement, mais aussi le déroulement des obsèques. En d’autres termes, la prévoyance funéraire, c’est préparer en amont tout ce que l’on ne pourra plus exprimer au moment venu, pour que rien ne soit laissé au hasard – ni pour soi, ni pour ses proches.
Certaines entreprises se sont spécialisées dans cette approche en Suisse. C’est le cas d’Everlife, qui a choisi de recentrer la prévoyance à la fois sur l’accompagnement humain – pas toujours systématique dans les offres standards – et la fiabilité de la solution. Contrairement à de nombreuses formules opaques ou limitées, Everlife propose un véritable parcours de prévoyance. Dès la souscription, les souhaits sont formalisés, les documents essentiels sont centralisés dans un espace personnel, et les fonds sont sécurisés et surtout exclusivement dédiés à l’organisation des obsèques.
Mais c’est surtout l’aspect humain qui distingue Everlife. Chaque souscripteur dispose d’un interlocuteur unique, capable d’accompagner les proches au moment venu, d’organiser les démarches dans le respect des volontés, et d’assurer un soutien réel à ceux qui restent. L’approche se veut aussi sobre qu’empathique : un service fluide, sans paperasse excessive, pensé pour soulager.
À cela s’ajoutent des outils concrets – stockage des informations, espace commémoratif, assistant pour le testament – qui montrent que la promesse d’accompagnement n’est pas qu’un argument marketing, mais une réalité. La gestion des formalités post-mortem, souvent négligée est ici intégrée à part entière.
Anticiper c’est prendre soin de ses proches
La prévoyance funéraire ne se résume pas à la signature d’un contrat : c’est un acte profondément humain. Anticiper, c’est protéger. C’est choisir de ne pas laisser ses proches seuls face à des décisions complexes, à des dépenses soudaines et à une charge émotionnelle souvent écrasante. C’est leur offrir un cadre clair, des repères au moment où tout vacille, et un véritable soulagement dans la tourmente.
C’est un geste de lucidité, de soin et de responsabilité. Une manière silencieuse mais puissante de dire à ceux qu’on aime : « J’ai tout prévu. »
Bon à savoir
Cet article a été fourni par un tiers, et ne saurait refléter que son point de vue.